C’est bien trop de marques que nous laissons derrière nous, des traces de toutes sortes. Des effets personnels, des déchets : des petits restes de nos existences. Il y a plein de choses qui appartiennent à qui voudra : j’en rempli mes poches.

Cette inscription du 14/08/16 dit quelque chose. J’espère que Louis et Françoise s’aiment toujours.

Sur des matériaux de récupération, je recopie des graffitis récoltés dans les espaces que je traverse. Ce sont de nouvelles artefacts : les restes du temps passé prolongés dans le présent.