Ce travail a pour thème le deuil. Il a pour but d’ouvrir une parenthèse sur les différents deuil que j’ai du affronter. Mais aussi d’avertir le spectateur sur ce qu’il pourrait lui arrivé. Toute fois j’espère que les spectateurs les plus optimiste vois la beauté cachée de mes tableaux. L’exposition s’appelle parenthèse de deuil en 6 face.

Le deuil : L’ouverture représente la mort, un fin, un aboutissement, d’une épreuve, d’une vie, d’un combat. Représenter par un noir Infini, par de la terre comme un retour au base de l’univers. Une terre sèche et craquelé avec un sentiment qui laisse sans voix. Tu te nourrir de la terre et la terre se nourrira de toi. Mais avec le détail de trace de doigts pour avoir combattu la mort toute ça vie

Le premier deuil a faire c’est celui derrière on ça cache pour ne pas affronter la réalité. Pour moi ça été l’addition au crack. D’où l’intitulé le deuil du crack. J’ai exploiter la technique de la cristallisation comme pour transformer la coke en crack grâce à l’ammoniaque. Ici j’ai refait le même processus de cristallisation mais avec du sucre en morceaux et de la colle vinylique. Ce qui appréciable c’est que l’on peut y voir beaucoup d’autres choses mais qui nous ramène quand au sujet du tableau (ne pas affronter la réalité) comme ce regardé regarder dans un fleuve sans même voir son reflet, ce caché derrière la nourriture avec l’addition au sucre, voir flou au lieu de la réalité etc

Pour le tableau deuil du père, le processus de création a été important. Le lendemain de la mort de mon père j’avais besoin de me soulager. J’ai donc pris un tableau vierge, toute mes peinture périmé, le pinceau plus proche de moi et mon tournevis. Je me suis défouler avec ma peinture, exprimer ma rage avec le tournevis en transpercent le tableau. Ce qui représente la mort qui a transpercer mon père. Et je me suis sentie vidée mais plein d’interrogation. Et comme le reste de ce tableau je me suis exprimé simplement.

Pour le tableau deuil de Corentin, mon copain, la démarche à été complètement opposé. J’ai longuement réfléchi à comment montré la sagesse et le bonheur qu’il m’avait apporté. Et le collage de lui en train de prier m’a semblé évident. Et a aussi dénouer ma vie sexuelle j’ai donc dissimuler ma vulve sous notre signature. D+c pour dada et Corentin comme pour un remerciement éternel. Pour le reste j’ai essayé de mettre à avant les mains et la signature. Après avoir compris la mort de mon père et de mon copain. Il faut faire le deuil de ce qu’il reste dans mon cœur.

Le deuil du choque, pour boucher mes plais du choque j’ai collé des feuilles sur le tableau, puis les déchirer une fois soigné et séché. Avec froideur j’ai repeint en bleu la surface. Mais le deuxième choque est arrivé tel un couteau qui trou ma toile et j’ai laissé mon sang séché en l’étalant et en acceptant cette nouvelle plaie ouverte.

La prochaine étape est celle du deuil de la souffrance. Comme en enfer une colle chaude sur la peau, qui dégouline hasardeman sur tout le corps, même le plâtre n’arrive pas pancé cette lave. Une bombe rouge sang m’enfume et me fait tourner la tête. Malgré tout, le lendemain a mon réveil ma névrose avait quitté mon corps.

Un jour a la place j’ai eue une madeleine de Proust. Moi mon père a la plage surveillants mon petit frère. Puis moi et Corentin dormant dans un abris de plage abandonné. C’est le moment de faire le deuil du souvenir. J’ai pris le sable de la plage en me disant qu’on peut créer des nouveaux souvenirs avec l’être aimé alors même qu’ils sont morts. J’ai mélangé le sable avec de la colle et enduit la moitié du tableau avec pour fixer ces madeleines de Proust pour avancer dans ce deuil. Puis j’ai sur la partie du sable et la haut du tableau j’ai essayé représenter une communication entre moi et le souvenir de mon père et Corentin.

La parenthèse de fin, qui une fois comparer avec le premier tableau on comprend que c’est la fin d’une première épreuve. La fin et un début d’une vie. Un passage, un chemin, oui parce que comme on peut le voir la surface n’est pas encore lisse.